Celui-ci a heurté la vitre d'un immeuble de bureau et a été recueilli, à demi assommé, par la sympathique équipe de fonctionnaires qui y fonctionnent.
A peine remis de ses émotions, notre minuscule passereau trouva refuge dans les branches de la seule créature qui végète vraiment dans ce lieu d'intense activité.
Ce fut l'occasion de prendre quelques clichés d'un oiseau toujours difficile à photographier en temps normal.
D'autant que l'espèce est plutôt rare en Belgique en hiver, la plupart des effectifs migrant vers le sud.
Observation insolite : le volatile a maintenant regagné ses résineux de prédilection, fuyant les cadences infernales et l'insoutenable people management de la fonction publique fédérale.
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